Plus de numérique à l'école, le rapport de l'Institut Montaigne
Plus de numérique à l’école !
Une préconisation faite par l’Institut Montaigne, à l’occasion de son rapport “Le numérique pour réussir dès l’école primaire”.
Ce document analyse le “tsunami numérique” auquel font actuellement face les enseignants, premier acteurs dans ce changement fondamental des outils d’apprentissage. Et donne également de nombreuses pistes afin d’utiliser ces nouveaux outils à bon escient, c’est à dire pour contribuer à remplir l’objectif premier de l’école primaire: “l’acquisition d’un bagage de connaissances et compétences socle, pour tous”.

Le numérique, est-ce vraiment mieux ?
Comme le souligne l’Institut Montaigne, les technologies ne transforment pas les mécanismes d’apprentissage, mais peuvent avoir un “effet positif pour capter l’attention, engager l’enfant, émettre des retours et faire répéter l’exécution de tâches”. Que ce soit par le son, l’image, l’animation, ou encore les mécaniques de jeux, le numérique permet d’agir sur des leviers supplémentaires, qui s’inscrivent en complément des méthodes d’apprentissage “traditionnelles”.
On ne peut qu’acquiescer chez eduPad, où ne recevons chaque jour des centaines de retours enthousiastes d’utilisateurs qui adorent ce “jeu”. Gagner enfin sa ceinture noire, débloquer des jokers, améliorer son classement dans le “Game Center” d’Apple… des mécaniques de jeu qui incitent les enfants à s’entraîner, faire des quizz, et peu à peu améliorer leurs connaissance. Mais les retours sont unanimes : à la fin de la journée, c’est toujours le plaisir d’apprendre qui gagne !
Le boom des EdTech… en France ?
Dans ce rapport, l’Institut Montaigne aborde également le boom récent des eduTech. Que ce soit au travers des applications ludo-éducatives, des exerciseurs, des manuels scolaires en ligne ou encore des MOOC, le marché connaît une croissance soutenue ces dernières année. Ces dernières années, vous n’y avez certainement pas échappé, les edTech sont partout.
Avec une nuance : le marché français lui, “modérément touché par le numérique, si on le compare à certains marchés anglo-saxons”. Et de relever à juste titre que “le géant des applications éducatives eduPad, avec des millions de téléchargements dans plus de 145 pays, réalise 70 % de son chiffre d’affaire à l’étranger, principalement aux États-Unis.”
Pour lire le rapport complet, c’est par ici.
Lucie @ eduPad